Québec 2023, Vacances

Jour 24: Montréal

Ce matin, après avoir déposé ses filles à leur camp d’été de danse, Marie-Claude nous pose sur la route de son travail à un arrêt de bus. Arrivée sur les coups de dix heures. Nous commençons par l’ascension du Mont-Royal, la colline qui culmine à 234 m d’altitude au coeur de l’île de Montréal. Nous montons par le belvédère qui offre une belle vue sur l’île de Montréal.

Nous passons ensuite faire le tour vers la Croix de 31m posée en son sommet. Lorsqu’ elle est illuminée on peut la voir jusqu’à 80 km. Nous avons fait un saut au lac aux castors- petit plan d’eau artificiel- qui sert de patinoire l’hiver. Le Parc du Mont-Royal a été dessiné par le même architecte-paysagiste que Central Park. Il est plaisant de s’y balader. Nous sommes redescendu a l’Est pour faire un petit tour dans le quartier du Plateau Mont-Royal. La rue Mont-Royal a été rendu piétonne, des installations artistiques, des bancs et peintures au sol ont remplacé les voitures. Nous en avons profité pour nous rassasier au St Viateur- le spécialiste des bagels à Montréal, Alexis prend un wow (aubergine, pesto, tomates séchées) et moi un classique ( crème au fromage, saumon fumé, câpres, citron).

Le street art du quartier Mont Royal

Savez-vous différencier les bagels québécois des bagels New-Yorkais ?

Les bagels de Montréal ont un plus gros trou.

Nous prenons le métro pour nous rendre dans le vieux Montréal et sur le port. Un parcours suspendu de type accrobranche a été installé sur deux faux anciens 3 mâts.

Nous passons ensuite Place des Arts où nous restons un moment au festival Présences Autochtones pour des chants autochtones, puis nous regardons quelques courts-métrages du projet Wapitoni. Cette association se déplace dans les réserves et forme jeunes et moins jeunes au maniement des caméras, à l’écriture et au montage. Les productions sont ensuite projetées au public dans les communautés et dans des festivals. Différentes techniques sont utilisées : stop motion, rotoscopie, film et sketch. Certains de ces courts métrages étaient très émouvants.

Puis nous sommes passés sur l’île Jean Drapeau voir la biosphère dessinée par Bukmistere Fuller pour le pavillon américain de l’Expo Universelle de 1967.

Nous rentrons ensuite sur st Martine mais loupons le bus à quelques minutes près, nous tentons un peu de stop ( le bus passe 1 fois par heure) nous prévenons Marie-Claude et quelqu’un nous prend juste avant que Marie-Claude ne nous rejoigne, notre trajet stop n’aura duré que 300 mètres.

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